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Medley Cloclo

Claude François disco

Ah Aaah
Ah Aaah
Voi-les sur les filles
Bar-ques sur le Nil
Je suis dans ta vie
Je suis dans tes bras
A-lex-an-dra A-lex-an-drie

A-lex-an-drie où l’a-mour danse a-vec la nuit
J’ai plus d’ap-pé-tit
Qu’un Bar-ra-cu-da
Je boi-rai tout le Nil si tu n’me re-tiens pas
Je boi-rai tout le Nil si tu n’me re-tiens pas
A-lex-an-drie
A-lex-an-dra
A-lex-an-drie où l’a-mour danse au fond des draps
Ce soir j’ai de la fièvre et toi tu meurs de froid
Les si-rènes du port d’A-lex-an-drie
Chantent en-core la mê-me mé-lo-die wo-wo
La lu-mière du phare d’A-lex-an-drie
Fait nau-fra-ger les pa-pi-llons de ma jeu-nes-se.
A-lex-an-drie A-lex-an-dra

Quand tu sou-ris
Je m´en-vole au pa-ra-dis
Je vais à Ri-o de Ja-nei-ro
Je prends ta main
Et nos cœurs font plus de bruit
Que toutes les cym-bales
Du car-na-val

Tu m´en-traî-nes dans la fou-le
D´u-ne fê-te qui dé-rou-le de ses ai-les
De ses den-tel-les
Et je suis ri-che de rê-ves
Com-me le sont les gens pau-vres
De là-bas
Oh woh ouh woh

Quand tu sou-ris
Je m´en-vole au pa-ra-dis
Je vais à Ri-o de Ja-nei-ro
Et l´on se jet-te dans l´eau
Dans l´eau bleue de l´o-cé-an
Que peu-vent s´of-frir sans ar-gen-ent
Ceux qui n´ont que des fleurs
Dans le cœur

Cette an-née-là
Je chan-tais pour la pre-m-i-ére fois
Le pu-blic ne me con-nais-sait pas
Quelle an-née cette an-nee-là

Cette an-née-là
Le rock´ n´ roll ve-nait d´ou-vrir ses ailes
Dans mon coin je chan-tais belle, belle, belle
Et le pu-blic ai-mait ça

Dé-jà les Bea-tles é-taient qua-tre gar-çons dans le vent
Et moi ah ah
Ma chan-son di-sait mar-che tout droit ah

Cette an-née-là
Quel-le joie d´ê-tre l´i-dole des jeunes
Pour des fans qui cas-saient les fau-teuils
Plus j´y pense et moins j´ou-blie

Je ne peux plus rien y fai-ai-ai-re

Je ne sais plus com-ment fai-ai-ai-re

Di-tes-lui que je suis comme el-le
Que jaime tou-jou-rs les chan-sons
Qui parlent d’a-mour et d’hi-ron-delles
De cha-grin, de vent de fris-sons
Di-tes-lui que je pense à el-le
Quand on me parle de ma-gno-lias
Quand j’en-tends ces mu-siques nou-velles
Qui ré-sonnent comme des bruits d’com-bats

Je ne sais plus com-ment fai-ai-ai-re

Elle est si for-te quelle se bri-se
Elle é-tait fière elle est sou-mi-se
Comme un a-mour qui lâ-che pri-se
Qui casse et ne plie pas

Tu lui res-sem-bles
Quand el-le trem-ble
Et dans ta voix
J’en-tends par-fois un peu sa voix

Elle te res-sem-ble
Quand el-le trem-ble
Quand el-le pleure
Elle à dans le coeur
Des arbres en fleurs

Di-tes-lui que j’ai peur pour el-le
Dans les sous-sols quand il fait noir
Quand j’en-tends ces mu-siques nou-velles
Où s’en vient cri-er le dé-ses-poir

Di-tes-lui que je pense à el-le
Dans un grand champ de ma-gno-lias
Et que si toutes les fleurs sont bel-les
Je me brûle sou-vent les doigts

Des ma-gno-lias, par cen-tai-ai-ai-nes
Des ma-gno-lias comme au-tre-fois
Je ne sais plus com-ment fai-ai-ai-re
Les ma-gno-lias sont tou-jours là

Elle res-semble à tou-tes les fil-les
Quand el-les ai-ment com-me ça
Quelles soient mé-chantes ou bien ti-mi-des
Pau-vres vio-lettes ou ma-gno-lias a a

Elle ai-me les grands ciels hu-mi-des
Et les dé-serts où il fait froid
Par-fois elle pleu-re quand j’ar-ri-ve
Et el-le rit, quand elle s’en va