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Medley Piaf

Edith Piaf

Des yeux qui font bais-ser les miens
Un rire qui se perd sur sa bouche
Voil-à le por-trait sans re-touche
De l’homme au-quel j’ap-par-tiens

Quand il me prend dans ses bras
Il me par-le tout bas
Je vois la vie en ro-se

Il me dit des mots d’a-mour
Des mots de tous les jours
Et ça m’fait quel-que cho-se

Il est en-tré dans mon coeur
U-ne part de bon-heur
Dont je con-nais la cau-se

C’est lui pour moi moi pour lui
Dans la vie
Il me l’a dit l’a ju-ré pour la vi-e

Et dès que je l’ap-per-çois
A-lors je sens en moi
Mon coeur qui bat

Tu me fais tour-ner la tê-te
Mon ma-nége à moi c’est toi
Je suis tou-jours à la fê-te
Quand tu me tiens dans tes bras

Je fe-rais le tour du mon-de
Ca ne tour’n’ rait pas plus qu’ça
La terre n’est pas as-sez ron-de
Pour m’é-tour-dir au-tant qu’toi

La la la la la la la
La la la la la la la la la
La la la la la la la
La la la la la la la

Je fe-rais le tou-our du-u mon-de
Ca ne tour’n’ rait pas plus qu’ça
La terre n’est pas as-sez ron-de
Mon ma-nége à moi c’est toi

Al-lez ve-nez mi-lord
Vous as-seoir à ma table
Il fait si froid de-hors
I-ci c’est con-for-table

Lais-sez vous faire Mi-lor
Et pre-nez bien vos aises
Vos pei-nes sur mon coeur
Et vos pieds sur une chaise

Je vous con-nais Mi-lord
Vous n’m’a-vez ja-mais vu
Je n’suis qu’une fille du port
Une om-bre de la rue

Je re-vois la ville en fête et en dé-li-re
Suf-fo-quant sous le so-leil et sous la joie
Et j’en-tends dans la mu-sique les cris les ri-res
E-clatent et re-bon-dissent au-tour de moi
J’mé-ver-tues par-mi ses gens qui me bous-cu-lent
E-tour-die dé-sen-pa-rée je res-te là
Quand sou-dain je me re-tourne et me re-cu-le
Et la foule vient l’ar-ra-cher d’en-tre mes bras

Em-por-tez par la fou-le qui nous trai-ne nous en-trai-ne
E-cra-sez l’un con-tre l’au-tre nous ne for-mons qu’un seul corps
Et le flot sans ef-fort nous pousse en-chai-nés l’un et l’au-tre
Et nous lais-se tous d’eux é-pa-nou-is en-i-vrés et heu-reux
Et trai-nés pas la fou-le qui s’é-lan-ce et qui dan-se
U-ne folle fa-ran-do-le nos deux mains res-tent sou-dées
Et par-fois sou-le-vés nos deux corps en-la-cés s’en-vo-lent
Et re-tom-bent tous deux é-pa-nois en-ivrés et heu-reux

Lay La la la la la lay La la la la la lay La la la la la lay

Non rien de rien
Non je ne re-gret-te rien
Ni le bien qu’on m’a fait
Ni le mal tout ça m’est bien é-gal

Non rien de rien
Non je ne re-gret-te rien
Car ma vie car mes joies
Au-jour-d’hui
Ca com-mence a-vec toi-